Si l’on avait su garder ce patrimoine en France, si l’on n’avait pas exporté cette pratique vers la perfide Albion, si l’on ne s’était pas résigné à abandonner ce sport aux étudiants de la ville de Rugby qui en firent la renommée, peut-être parlerions-nous aujourd’hui du Mortagne-au-Perche à XV, ou du Briouzeman Julien Bonnaire.
Francois Morel