Les camps d’extermination nazis, comme tous les autres camps d’extermination, peuvent être considérés comme des symboles extrêmes du mal, de l’enfer qui s’ouvre sur la terre quand l’homme oublie Dieu et cherche à se substituer à lui, en lui usurpant le droit de décider ce qui est bien et ce qui est mal, de donner la vie et la mort.
La majeure partie de la vie c’est un enfer. C’est échec et perte. Les gens vous déçoivent. Les rêves ne fonctionnent pas. Les coeurs se brisent. Des journalistes innocents meurent. Et les meilleurs moments de la vie, quand tout est réuni, sont rares et éphémères. Mais vous n’irez jamais au prochain grand moment si vous ne continuez pas. Donc c’est ce que je fais. Je continue.