J’ai pas peur de l’avouer, j’avais quarante ans passés, eh bien, le jour de la mort de Brassens, j’ai pleuré comme un môme. J’ai vraiment pas honte de le dire. Alors que – c’est curieux – mais, le jour de la mort de Tino Rossi, j’ai repris deux fois des moules.
Pierre Desproges