J’m’endors, cagoulé. J’rêve dans l’anonymat.
Ademo
Chez moi, on t’aime, puis on t’oublie Chez moi, on saigne, puis on grandit.
On sait d’où l’on vient sans savoir où on va.
Les sentiments, ça ralentit, le coeur fermé, là j’suis à fond.
Je n’ai plus peur du noir, je suis rassuré par le violet.
Un jour j’suis tombé, pour apprendre à me relever.