Les mots n'ont rien de véritablement étranger, mais les images qu'ils suscitent ne débouchent que sur des sensations de meurtre inaccompli, de cruauté diffuse et de malaise. On ne saisit pas l'intention de celui qui parle et on ne comprend même pas qui prend la parole.

Le surhomme ? Peut-être fabriquerons-nous un jour ce qui nous comprendra.

Lors d'une longue randonnée, certains courent rapidement. D'autres marchent tranquillement. D'autres encore rampent péniblement. Mais un jour ou l'autre tous arriveront au bout du sentier.

Attendre patiemment qu'une graine se mette peu à peu à germer, jusqu'au jour ou s'épanouira la fleur de la solution.

Quand dans un discours, se trouvent des mots répétés, et qu'essayant de les corriger, on les trouve si propres qu'on gâterait le discours, il faut bien les laisser.

Chaque jour est une nouvelle expérience et chaque expérience doit faire espérer un nouveau jour.