Il y a un utile et un inutile en art. La majorité du public ne ressent pas cela, envisageant l'art comme une distraction.

En ville, un enterrement, c'est un embouteillage. A la campagne, c'est une distraction pour l'après-midi.

Oublier de respirer reste la seule distraction fatale.

Quitter ses habitudes, devenir un autre que soi par l'ivresse des facultés morales, et jouer ce jeu à volonté, telle était ma distraction.

La vie ce n'est pas la distraction et le mouvement du monde. Vivre, c'est sentir son âme, toute son âme. C'est aimer, aimer de toutes ses forces, toujours, jusqu'à la fin, et jusqu'au sacrifice.

Le comble de la distraction : Le matin, en se réveillant, ne pas penser à ouvrir les yeux.