Nous ne pouvons pas tout ce que nous voulons, mais il reste à vouloir tout ce que nous pouvons.

Je pense à cet étrange exercice de soumission et de liberté qui consiste à persister de vouloir en sachant qu'on n'est maître ni de soi ni du monde.

Vouloir expliquer un poème est aussi vain que d'espérer découvrir le secret du temps en démontant une horloge.

Il reste beaucoup d'espace à la télévision pour des projets culturels originaux. Encore faut-il le vouloir.

L'amour c'est généreux, calme et détendu. Quelquefois cela dure, et quelquefois cela passe, mais au fond cela n'est jamais aussi grave qu'on le pense et il est très prétentieux de vouloir enfermer un homme et une femme dans un sentiment éternel.

C'est quand même étrange cette manie que nous avons tous de vouloir rompre en douceur alors que rien n'est plus violent qu'une rupture qui se déroule en douceur.