Un jeune homme oisif est comme un jeune taureau sans le joug.

La folie ne s'empare que des gens sains d'esprit.

La seule satisfaction réelle de l'homme, c'est de provoquer la jouissance de la femme.

L'homme tremble devant les maux qui ne l'atteindront pas et pleure continuellement les biens qu'il n'a pas perdus.

Cent ans après sa mort, le plus grand bonheur qui puisse arriver à un grand homme, c'est d'avoir des ennemis.

Il est beaucoup plus simple de construire un univers que d'expliquer comment un homme tient sur ses pieds. Demandez à Aristote, à Descartes, à Leibniz et à quelques autres.