Ecrire, c'est à peu près comme se trouver dans une maison vide et guetter l'apparition de fantômes.

Je crois que le peuple breton a changé de nature. Quand la mer était cruelle et quand la terre était pauvre, les Bretons étaient une grande race. Maintenant qu'ils sont CFTC, CFDT, lecteurs d'Ouest France, ouailles et curés socialistes, je ne sais pas.

La faute est grande comme celui qui la commet.

On cherche le bien sans le trouver, et l'on trouve le mal sans le chercher.

A barque désespérée, Dieu fait trouver le port.

Ma plus grande joie, quand je faisais ce métier, c'est quand quelqu'un me disait : « Votre film, c'est mon histoire ! »