On peut discuter des opinions, mais les convictions ne sont guéries qu'à coups de fusils.

Nous restons bien davantage le produit de notre éducation ou de notre milieu que nous ne devenons l'être de nos désirs...

Il y a trois opinions dont je tiendra le plus grand compte : la vôtre, la mienne... et la bonne.

L'Etat, lorsqu'il choisit les hommes qui le serviront, ne tient aucun compte de leurs opinions. S'ils veulent bien lui être fidèles et le servir, cela suffit.

Dans notre société, on dit que quelqu'un a du caractère lorsqu'il accorde plus d'importance à ses propres opinions qu'à celles d'autrui.

Combien de désirs sont décorés du nom de volontés.