J'ai aimé Dieu, qui n'est rien aux yeux des hommes qui ne sont rien. Je n'ai détesté ni les hommes ni les femmes. Et j'ai aimé la vie qui est beaucoup moins que rien, mais qui est tout pour nous.

Très peu d'hommes et de femmes existent par eux-mêmes, ont le courage de dire oui ou non par eux-mêmes.

Toutes les tendances égoïstes qu'on trouve chez les hommes, le culte de soi et le mépris des autres, prennent leur source dans l'organisation actuelle des relations entre les hommes et les femmes.

L'histoire s'est toujours écrite dans le sang des hommes et des femmes prêts à le verser.

Je ne parle pas du tout de femmes avec qui que ce soit. Il y a de bonnes qualités chez toutes les femmes.

Les femmes attachent de l'importance à la pudeur physique pour avoir moins à se soucier de la pudeur morale.