L'homme vit dont le nom est prononcé.

L'homme, comme le perroquet du persil, est friand des idées qui le tuent.

La grande illusion, c'est la guerre. La grande désillusion, c'est la paix.

Un homme digne de ce nom ne fuit jamais. Fuir, c'est bon pour les robinets.

N'est profond, n'est véritable que ce que l'on cache. D'où la force des sentiments vils.

Dieu, lui aussi, a essayé de faire des ouvrages. Sa prose, c'est l'homme. Sa poésie, c'est la femme.