Les profits sont le sang vital du système economique, l'elixir magique sur lequel repose tout progrès. Mais le sang d'une personne peut être le cancer pour une autre.

Les progrès de l'humanité se mesurent aux concessions que la folie des sages fait à la sagesse des fous.

L'humanité gémit, à demi écrasée sous le poids des progrès qu'elle a faits. Elle ne sait pas assez que son avenir dépend d'elle.

Le monde est un beau livre, mais il sert peu à qui ne le sait lire.

Afin qu'un ouvrage soit véritablement beau, il faut que l'auteur s'y oublie, et me permette de l'oublier.

La définition du beau est facile : il est ce qui désespère.