Évite le monde : il n'a que colère pour les grands sentiments, et il ne pardonne pas à ceux qui s'égarent.

Ma passion et mon énergie se confondent avec la colère.

Je ne me mets jamais en colère car je m'aime trop pour me mettre hors de moi.

On ne peut ressentir la douceur de cette vie sans en même temps concevoir une colère absolue contre le mal qui la serre de toutes parts.

Si j'ai survécu, je le dois d'abord et à coup sûr au hasard, ensuite à la colère, à la volonté de dévoiler ces crimes et, enfin, à une coalition de l'amitié, car j'avais perdu le désir viscéral de vivre.

La colère est comme l'alcool : à petites doses et de temps en temps, cela peut rendre service.