L'absence de l'être aimé laisse derrière soi un lent poison qui s'appelle l'oubli.

La pensée d'un homme est avant tout sa nostalgie.

Un poison violent, c'est ça l'amour Un truc à pas dépasser la dose.

Le fait d'être habité par une nostalgie incompréhensible serait tout de même le signe qu'il y a un ailleurs.

On ne guérit jamais complètement, quand on a écrit. On n'en est jamais quitte avec ce poison.

Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela ? Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves, que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés ? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour le vingtième siècle qui va s'ouvrir !