L'homme s'exerce dans le monde comme le couteau s'affûte sur la pierre.

Tout s'anéantit, tout périt, tout passe : il n'y a que le monde qui reste, il n'y a que le temps qui dure.

Un homme n'est jamais pleinement satisfait de trahir une femme sans la faire souffrir.

Ne conquiers pas le monde si tu dois y perdre ton âme car la sagesse vaut mieux que l'or et l'argent.

L'homme peut bien dompter la nature, mais il est assujetti à sa pensée.

La femme seule ne doit qu'à elle-même le compte de ses jours. Elle s'habille pour elle, sort à sa guise, rentre à son gré, dispose comme il lui plaît de son temps, de son coeur et de son téléphone. Elle n'a jamais besoin de mentir, ni d'inventer, et elle