La méditation de la mort est hypocrite puisque c'est une manière morose de vivre.

Il faut vivre pour écrire, et non pas écrire pour vivre.

L'homme accepte la mort, mais non l'heure de sa mort. Mourir n'importe quand, sauf quand il faut que l'on meure.

Ce n'est pas un hasard s'il y a toujours plus de monde aux enterrements qu'aux mariages.

On ne s'aperçoit pas toujours que l'on parcourt chaque jour un nouveau chemin.

Il faut songer quelquefois à la mort, cette seule pensée peut nous apprendre à bien vivre.