Je crois que la petite tristesse des choses quotidiennes est quelque chose d'intéressant.

L'objet de la philosophie, c'est de partir d'une chose si simple que ça ne vaut pas la peine d'en parler et d'arriver à une chose si compliquée que personne n'y comprend plus rien.

Je ne comprends rien à la vie, mais je ne dis pas qu'il soit impossible que Dieu y comprenne quelque chose.

Les visions ont un heureux instinct : elles ne viennent qu'à ceux qui doivent y croire.

Souvent, devant un défi aussi colossal que le changement climatique, ça peut être décourageant - un peu comme perdre du poids -, et j'en sais quelque chose!

Il y a un sentiment de liberté à suivre ses caprices, et tout au contraire de servitude à courir pour son établissement : il est naturel de se croire digne de le trouver sans l'avoir cherché.