Ce n'est pas un malheur d'être méconnu des hommes, mais c'est un malheur de les méconnaître.

Les mots "steak" et "soja" associés ensemble, c'est comme si on me disait :"l'Everest en trikini".

Il doit y avoir dans les mots une merveilleuse puissance d'apaisement pour que tant d'hommes leur aient demandé de servir à leurs confessions.

La seule façon de défendre ses idées et ses principes est de les faire connaître.

Ceux qui, sans nous connaître assez, pensent mal de nous, ne nous font pas de tort : ce n'est pas nous qu'ils attaquent, c'est le fantôme de leur imagination.

Il y a des mots incapables d'être définis.