L'écriture : cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète.

Les uns font semblant de se ruiner ; c'est pour émouvoir la compassion des gens simples. Les autres font semblant de s'enrichir ; c'est pour surexciter les instincts d'envie et de cupidité des masses.

Les gens heureux n'écrivent pas.

La neutralité c'est une chose qu'on trouve dans les discours, pas dans le coeur des gens.

L'art et la révolte ne mourront qu'avec le dernier homme.

Pour que les choses paraissent nouvelles, si elles sont anciennes, et même si elles sont nouvelles, il faut, en art, comme en médecine, comme en mondanité, des noms nouveaux.