L'animal a cet avantage sur l'homme qu'il ne peut être sot.

C'était fou, le pouvoir d'une légende, quand on se donnait la peine d'y croire.

Folie : Il faut être un peu fou pour ne pas le devenir.

Il faut éviter le paradoxe, comme une fille publique qu'il est, avec laquelle on couche à l'occasion, pour rire, mais qu'un fou, seul, épouserait.

Le sot qui sent sa sottise n'est déjà plus si sot, mais le paresseux peut connaître sa paresse, en gémir, et le rester.

Il y a quatre types idéals : le crétin, l'imbécile, le stupide et le fou. Le normal, c'est le mélange équilibré des quatre.