Si l'on trouve du plaisir au bonheur d'autrui, c'est avant tout parce que l'autre est nécessaire à son propre bonheur.

Si on n'a pas la conviction qu'autrui est dans des embêtements sans nombre, on n'est pas soi-même très heureux.

C'est en voulant connaître toujours davantage qu'on se rend compte qu'on ne sait pas grand-chose.

Faites-vous connaître d'abord et écrivez ensuite ; n'importe quoi !

Le nom est plus qu'une désignation de la personne. Il est indissolublement lié à l'être. Nommer quelqu'un, nommer un objet, c'est le connaître à fond, jusque, dans ses parties les plus secrètes.

La jalousie d'autrui a, du moins, cet avantage parfois de nous faire découvrir notre propre bonheur.