Dieu et le diable représentent un effort louable de spécialisation dans la division du travail.

L'absence c'est Dieu. Dieu, c'est la solitude des hommes.

C'est uniquement à travers le roman qu'on peut réellement découvrir les véritables aspirations d'un peuple en devenir. C'est en même temps la seule façon de comprendre ses réactions.

A force d'être malheureux on finit par devenir ridicule.

Le risque est grand de voir les gardes-frontières qui entreprennent de défendre l'Europe contre la barbarie montante devenir à leur tour des fascistes.

Dieu est une sorte de rien abyssal, et pourtant la vérité ne s'abîme pas dans cet abîme, ni ne s'écroule dans ce précipice.