La nature ne semble guère capable de donner que des maladies assez courtes. Mais la médecine s'est annexée l'art de les prolonger.

C'est à l'amour maternel que la nature a confié la conservation de tous êtres ; et pour assurer aux mères leur récompense, elle l'a mise dans les plaisirs, et même dans les peines attachées à ce délicieux sentiment.

Tout est provisoire. Cependant, si l'on en fait la somme, cela donne une sûre et inaltérable permanence.

Il y a des gens riches partout, et pourtant, ils ne contribuent pas à la croissance de leurs pays.

Sous quelque gouvernement que ce soit, la nature a posé des limites au malheur des peuples. Au delà de ces limites, c'est ou la mort, ou la fuite, ou la révolte.

La joie et la tristesse sont toutes deux des chaînes ; l'une est en or et l'autre est en fer, mais elles sont également faites pour nous enchaîner et nous empêcher de réaliser notre vraie nature.