J'ai dit quelque part qu'il ne suffisait pas d'entendre la musique, mais qu'il fallait encore la voir.

Les temps changent, les gens changent, mais j'm'ennuie vite, j'aime le changement, j'étais déjà différent.

La musique est le seul plaisir sensuel sans vice.

Il faut se poser un milliard de questions pour espérer bien danser. Sur l'époque, le costume, l'âge du personnage, ses traits de personnalité, ce que la musique suscite, jusqu'à réussir à se créer un texte qu'on dira avec le corps.

Nous ne sentons le prix de nos amis qu'au moment où nous sommes menacés de les perdre. Nous sommes même assez insensés quand tout va bien pour croire que nous pouvons impunément nous éloigner d'eux.

Adieu, toi que j'ai tant aimée, que j'aime tant encore, toi qui as rempli pour jamais ma vie d'amour et de douleur. Adieu, je pleure en écrivant ce mot. Adieu... adieu !...